Un lien entre enseignement et recherche

Structurellement lié à l’Ensa Paris-Belleville et à l’UMR AUSser, l’IPRAUS assure le lien entre la recherche menée au sein de l’UMR et les missions d’enseignement de l’établissement.
Ses membres permanents sont des enseignant.e.s-chercheur.e.s engagé.e.s dans des activités de recherche, des doctorant.e.s, post-doctorant.e.s et des personnels rattachés à l’Ensa Paris-Belleville ou à l’UMR AUSser (sauf exception approuvée par le Conseil de l’IPRAUS). D’autres enseignant.e.s, chercheur.e.s et personnalités extérieures, en raison de leurs compétences scientifiques, en sont également membres permanent.e.s ou sont associé.e.s à l’équipe de recherche.
Les membres de l’IPRAUS habilités à diriger des recherches (HDR) encadrent les travaux de doctorants, inscrits à l’école doctorale Ville, Transports et Territoires (ED VTT 528) de l’Université Paris-Est, à laquelle est rattachée l’Ensa Paris-Belleville. L’IPRAUS est le laboratoire d’accueil de ces doctorants mais aussi, pour des durées variables, de post-doctorants, enseignants et chercheurs invités ou stagiaires.

Une organisation collégiale

A l’instar de l’UMR AUSser à laquelle elle est rattachée, l’IPRAUS possède un Règlement intérieur définissant ses modalités de fonctionnement.

Organisant chaque année une Assemblée générale de ses membres, l’IPRAUS est placé sous la responsabilité scientifique d’un.e. directeur/trice et d’un Conseil, comprenant 14 membres : les deux directeur.trice.s de l’IPRAUS et de l’UMR AUSser (membres de droit), 10 membres élu.e.s (4 du collège des HDR, 4 du collège des enseignants et des chercheurs non HDR, 2 du collège des doctorants), auxquels s’ajoutent 2 membres nommé.e.s parmi le personnel administratif.

Composition du Conseil (élu.e.s le 18 octobre 2023) :

  • Membres de droit : André Lortie (directeur intérimaire de l’IPRAUS/AUSser) et Cristiana Mazzoni (directrice de l’UMR AUSser)
  • Collège des HDR : Corinne Jacquand, André Lortie, Laetitia Overney et Estelle Thibault
  • Collège des enseignants et des chercheurs non HDR : Catherine Blain, Solène Guevel, Patrick Henri et Guy Lambert
  • Collège des doctorant.e.s : Delphine Bresson et Christel El Hage
  • Membres nommé.e.s : Sonia Dukic et Christine Belmonte
  • Invité permanent : Pascal Fort

Historique de l'IPRAUS (et de l'Ensa de Belleville)

  • Cette chronologie historique a été rédigée en 2023 par Catherine Blain, sur la base de sources existantes et d’enquêtes complémentaires. Sur les débuts de l’Ensa de Paris-Belleville, voir Marie-Jeanne Dumont et Antoine Perron, UP8. Pour une pédagogie de l’architecture (1966-1978), Paris : Ed. Zeug & EnsaPB, 2021. Une historique est aussi consultable sur le site de l’ensa-pb.

Marc Riboud: Atelier populaire de l´ ex-école des Beaux-Arts, Paris 1968 [DR].

L’histoire de l’IPRAUS, laboratoire de l’école de Belleville, s’engage dans la mouvance de Mai 1968 et le départ de l’enseignement de l’architecture de l’école des Beaux-Arts.

  • 1968. Décret n° 68-1097 du 6 décembre modifiant l’organisation de l’enseignement de l’architecture. Prévoit la création, hors de l’école des Beaux-Arts, d’unités autonomes sur le plan pédagogique (UPA), placés sous tutelle du ministre chargé de la culture

1969. Création de l’Unité Pédagogique d’architecture n°8 (UP8), future école d’architecture de Belleville. Le noyau initial d’enseignants et étudiants, constitué dès 1965 autour de Bernard Huet. L’UP8 s’installe d’abord au Grand Palais, puis déménage dans un bâtiment désaffecté des Halles centrales avant d’être relogée dans un immeuble de bureaux du 13e arrondissement (69 rue du Chevaleret, en 1974).

1970 (octobre). Création de l’IERAU, Institut d’études et de recherches architecturales et urbaines. créé à UP8 par Bernard Huet avec le sociologue Henri Raymond, enseignant à l’université de Paris X-Nanterre. Cette structure (association Loi 1901) fédère rapidement des enseignants et chercheurs d’UP8, du CNRS et du département de sociologie de l’Université de Nanterre.
Au fil des premier travaux se dessinent leurs grandes lignes de recherche : sur la morphologie urbaine et sur la typologie et la géométrie constructive de l’architecture, avec leur dimensions économique et politique, envisagées également comme outil d’analyse pour le projet, et sur les pratiques et les représentations.

Le tournant des années 1980 est marqué par l’adoption de la Loi sur l’Architecture (déclarant celle-ci « expression de la culture »), une première réforme des écoles d’architecture et, à UPA8, une restructuration des programmes sur fond de déménagement et de son installation à Belleville.

  • 1977. Loi n°77-2 du 3 janvier sur l’architecture
  • 1978. Réforme dit d’Ornano (Décret n°78-266 du 8 mars) : UP8 devient un établissement public national à caractère administratif (Décret 9 avril), placé sous tutelle du ministère de l’environnement et du cadre de vie (Décret n° 78-533 du 12 avril).

1978. Restructuration des groupes d’enseignants à UP8 en quatre « cursus » : « A » autour de Bernard Huet, « Uno » autour d’Enrique Ciriani, « Un » autour de Nicole Eleb et François Laisney, « Indépendants » pour Paul Bossard et Bernard Paurd.

1981-1983. Installation d’UP8 à Belleville, dans les anciens locaux de l’usine Meccano (78-80 rue Rébeval) réaménagés par l’architecte Christian Gimonet assisté de Patrick Bouchain. L’ensemble industriel a été racheté par la RIVP au Secours Mutuel Agricole qui y abritait ses archives. La RIVP, s’engageant à un long bail, accepte que les travaux soient effectués pour les besoins de l’école.
L’installation de l’école dans ce quartier populaire lui forge une identité, et coïncide avec le changement de regard sur l’urbanisme parisien. L’ancrage dans ce faubourg hybride, où la rénovation urbaine de la fin des années 1970 s’affronte au charme pittoresque, et souvent vétuste, des immeubles anciens, nourrit enseignants et étudiants dans l’idée d’un « retour à la ville ». Les environs de l’école sont un terreau fertile pour constituer un savoir inédit sur le bâti ordinaire et sur l’histoire et les formes du tissu urbain parisien, ou encore pour s’exercer à l’intégration respectueuse de projets contemporains sur les nombreuses parcelles en devenir.

1981-1982. Création du séminaire inter-UP de 5e année, « Paris comme forme urbaine, 1740-1840 », en collaboration avec l’Institut français d’architecture (IFA). Y enseignent Bernard Huet, Bruno Fortier, Philippe Gresset, Antoine Grumbach, François Laisney et Pierre Pinon, entre autres.

En 1984 intervient une seconde réforme de l’enseignement de l’architecture (dite Duport). Désormais placées sous la tutelle du ministre chargé de l’architecture (arrêté du 14 mars), les UP  deviennent des « écoles d’architecture »,  ayant pour objets (décret n°84-263 du 9 avril) :

  • ART 1 – 1° La formation initiale, à différents niveaux, des professionnels de l’architecture ; 2° Les formations spécialisées en architecture et dans les domaines relatifs à celle-ci ; 3° La formation professionnelle continue et la promotion sociale des professionnels de l’architecture ; 4° La formation des personnels chargés de l’enseignement de l’architecture ; 5° La promotion de la recherche et le développement des activités expérimentales tendant à mettre les enseignants et les étudiants en situation professionnelle réelle ; 6° La diffusion, notamment dans le cadre régional, de la culture architecturale ; 7° L’échange des savoirs et des pratiques au sein de la communauté scientifique et culturelle internationale, notamment par le développement de programmes de coopération avec les institutions étrangères. »

La durée des études est par ailleurs réduite à 5 ans, sur 2 cycles (2+3) de formation devant associer recherche et formation pratique :

  • ART 3 – « 1° Un cycle d’orientation et de formation de base d’une durée normale de deux ans sanctionné par un diplôme national de l’enseignement supérieur, le diplôme d’études fondamentales en architecture ; 2° Un cycle d’une durée normale de trois ans conduisant au diplôme d’architecte diplômé par le Gouvernement. »
  • ART 16 – « Le cycle d’études conduisant au diplôme d’architecte D.P.L.G. a pour objet de dispenser une formation scientifique, technique, artistique et culturelle de haut niveau, qui donne aux diplômés la capacité de répondre aux changements des conditions économiques et sociales et de s’adapter à des situations professionnelles multiples. Les enseignements dispensés doivent concilier les exigences de l’acquisition d’un savoir théorique, intégrant les apports de la recherche et d’une formation pratique. La formation est notamment ouverte aux innovations scientifiques et techniques et facilite, dans le cours ultérieur de la vie professionnelle, la mise à jour constante des connaissances acquises. »

En application de cette réforme, UP8 devient « école d’architecture de Paris-Belleville » (1984). Et y sont créés de nouveaux programmes d’enseignement spécialisés, post-diplôme :

  • Le CEAA « Architecture urbaine », sous la responsabilité de Bernard Huet, où interviennent, entre autres, Monique Eleb, Bruno Fortier, Jacques Lucan et Pierre Pinon (formation inter-écoles d’architecture, associant  Paris-Villemin, Paris-Belleville, Paris-la Défense, Normandie, Paris-la Seine).
  • Le CEAA « Asie Pacifique », sous la responsabilité de Pierre Clément, en collaboration avec Charles Goldblum (Université Paris 8, IFU). Ces CEAA établissent en rapidement des convention avec l’Université de Paris 8, ouvrant aux cursus de 3e cycle.

Dans le fil de ces créations pédagogiques, le laboratoire de recherche de Belleville est restructuré et ses partenariats académiques et scientifiques confortés.

1986 (11 avril). Création de l’IPRAUS : Institut Parisien de Recherche Architecture Urbanistique Société. Bernard Huet et l’anthropologue Marion Segaud sont co-directeurs de cette unité de recherche pluridisciplinaire qui, prenant la suite de l’association IERAU, est désormais partie intégrant de l’école d’architecture de Belleville. Reconnue par ses différentes tutelles, elle réunit toujours des enseignants-chercheurs de Belleville et de l’université ainsi que des chercheurs et agents du CNRS.

  • 1986. Création du CEAA « Villes Orientales : Maghreb et Proche-Orient », qui deviendra le DESS « Villes, architecture, patrimoine : Maghreb et Proche Orient » (1998-2005). Responsables scientifiques successifs : Philippe Panerai, Serge Santelli et Barbara Bonnefoy (MCF Paris-X Nanterre).

1990. Pierre Clément est nommé directeur de l’IPRAUS, en remplacement de Bernard Huet (qui démissionne aussi du CEAA « Architecture urbaine »).

1991. Inauguration des nouveaux locaux de l’IPRAUS, dans l’annexe construite par la RIVP dans un fond de cour mitoyen, pour y loger également un amphithéâtre.

  • 1991 (rentrée). Création du DEA « Le Projet architectural et urbain : théories et dispositifs  », inter-écoles d’architecture (Paris-Belleville, Paris-la Villette, Paris-Malaquais et Versailles), cohabilité avec l’Université de Paris 8 (Institut français d’urbanisme) Responsables scientifiques : Yannis Tsiomis (professeur à Paris-la Villette), Jean-Louis Cohen (professeur des Universités, co-responsable), et Monique Eleb (professeur à Paris-Malaquais, co-responsable). Affilée à l’Ecole doctorale « Ville et environnement » de Paris 8, la formation ouvre au « Doctorat en Aménagement et urbanisme, option Projet architectural et urbain », puis « Doctorat en architecture » (à partir de 2003/2004).

Le quartier de Belleville dans le tissu parisien, en 1990 [cl. IGN]

La décennie 1990 apporte son nouveau cortège de réformes, qui ont une incidence directe sur l’organisation de l’enseignement et la recherche.

  • 1994. Création des corps de professeurs et de maîtres-assistants des écoles d’architecture (Décret n°94-262 du 1 avril )
  • 1996. Les écoles d’architecture repasse sous la tutelle du ministère de la culture (où est créée la Direction de l’architecture et du patrimoine) (Décret n°96-237 du 22 mars).
  • 1997. Nouvelle réforme des études d’architecture (Décret n°97-1096 du 27 novembre) : ajout d’une 6e année (2/2/2). « Art. 4. – Les études d’architecture sont organisées en trois cycles :
    1. Un 1er cycle d’études générales d’une durée de deux ans, conduisant au diplôme de premier cycle des études d’architecture, diplôme national de l’enseignement supérieur ;
    2. Un 2e cycle d’études fondamentales d’une durée de deux ans, conduisant au diplôme de deuxième cycle des études d’architecture, diplôme national de l’enseignement supérieur ;
    3. Un 3e cycle d’approfondissement des connaissances, conduisant soit au diplôme d’architecte diplômé par le Gouvernement (DPLG), soit à un diplôme national de troisième cycle de l’enseignement supérieur dans les domaines de l’architecture. Le troisième cycle conduisant au diplôme d’architecte DPLG est d’une durée de deux ans. »

Dans ce fil de ces nouvelles réformes, et afin de formaliser les nouveaux partenariats institutionnels expérimentés depuis 1986, l’IPRAUS s’associe à quatre unités de recherche pour créer une « Unité mixte de recherche » (UMR) associant écoles d’architecture, universités et CNRS.

1997 : Création de l’Unité mixte de recherche « AUST » : Architecture Urbanistique Société Territoires (7543 CNRS). Alain Bourdin directeur, 1997-2003. La participation de l’IPRAUS à la création de cette UMR consolide sa pluridisciplinarité et instaure sa collaboration avec 3 laboratoires de recherche : Architecture, Culture, Société XIXe-XXIe siècles (ACS, école d’architecture Paris-Villemin), Théories des Mutations Urbaines (TMU, Institut Français d’Urbanisme, Université Paris 8) et le Laboratoire de recherche et de formation doctorale en sciences sociales (LRFDSS, Université Paris 12-Créteil).

1999-2000. Des débats s’engagent à Belleville sur la nécessité de déménager. En 2001 (9 juillet) est cédé par le Conseil de Paris au ministère de la Culture, pour 1 euro symbolique, l’ancien Lycée Diderot, situé au 60 boulevard de la Villette, en vue d’y déménager l’école d’architecture de Belleville.

En 2002 (juillet), Jean-Paul Philippon est, en association avec le bureau d’études Ingérop, lauréat du concours pour la transformation de l’ancien lycée Diderot pour accueillir la la nouvelle école d’architecture de Paris-Belleville. La rentrée de ces nouveaux locaux se fera en septembre 2009.

Entretemps, l’enseignement et la recherche se poursuivent rue Rébeval.

  • 2002-2006. Création du DPEA « Architecture des territoires et projets urbains » (en remplacement du CEAA du même nom), sous la responsabilité scientifique de Nicole Eleb-Harlé.

2004 (janvier). Création de l’UMR AUS : Architecture, Urbanisme, Sociétés (7136 CNRS). Changeant de nom, l’unité mixte en conserve les membres fondateurs — IPRAUS, ACS, LTMU et LRFDSS — auxquels s’ajoute le GUEH/Génie Urbain, Environnement et Habitat (Université de Marne-la-Vallée). Philippe Bonin directeur, de 2004-2007, est remplacée en 2008 par Nathalie Lancret, directrice de recherche CNRS.

  • 2005. Nouvelle réforme de l’enseignement des écoles d’architecture (Décret n°2005-734 du 30 juin relatif aux études d’architecture) : harmonisation européenne avec instauration du LMD (3/2/3), de la HMONP, avec ouverture aux DSA. Les écoles sont renommées « écoles nationales supérieures d’architecture », le DPLG est supprimé au profit de deux diplômes + une habilitation :
    ART 5 « Les études d’architecture mènent aux diplômes nationaux d’enseignement supérieur dénommés diplôme d’études en architecture et diplôme d’Etat d’architecte, conférant respectivement les grades de licence et de master, ainsi qu’à l’habilitation de l’architecte diplômé d’Etat à l’exercice de la maîtrise d’œuvre en son nom propre. Elles peuvent également mener à des diplômes de spécialisation et d’approfondissement en architecture dans les établissements habilités à cet effet. » Le cycle de doctorat est prévu en liaison avec les ED universitaires:
    ART 11 [Abrogé par Décret n°2013-756 du 19 août 2013 – art. 4 (V)] « Les études d’architecture comportent une formation doctorale. Les écoles d’architecture (…) qui sont membres d’écoles doctorales accréditées à cet effet peuvent être autorisés à délivrer le doctorat en architecture. »

Les dispositions de la réforme s’appliquent à la rentrée universitaire 2006-2007. Les conséquences à Belleville sont :

1/ la disparation des formations post-diplômes existantes (DEA et DESS) au profit d’une restructuration de la filière doctorale de l’IPRAUS/UMR, sur la base de l’entente déjà convenue avec l’Ecole doctorale « Ville et environnement » (Université de Paris 8) et sa reconnaissance d’un diplôme de « Doctorat en architecture »

2/ la création de trois formations post-diplôme :

  • le DSA « Architecture et projet urbain », sous la resp. de Francis Nordemann en 2006, André Lortie en 2018 puis Patrick Henry à partir de 2020 ;
  • le DPEA « Métropoles d’Asie Pacifique », sous la resp. de Yong Hak Shin, avec comme enseignants Charles Goldblum, Pierre Clément, Christian Pédelahore, en partenariat avec Paris la Villette ;
  • le DSA « Architecture et patrimoine », comportant deux options : « Patrimoine architectural et urbain des Villes Orientales » (suite du DESS « Villes, architecture, patrimoine», resp. Serge Santelli ; dernière année 2009-2010), et « Patrimoine architectural et urbain du XXème siècle » (resp. scientifique : Jean-Paul Midant, deviendra « Architecture et patrimoine » en 2010).

La nouvelle école, 60 boulevard de la Villette [DR]

En 2009-2010, l’Ensa de Paris-Belleville et son unité de recherche s’organise en ses nouveaux locaux. Une nouvelle époque s’ouvre.

2009. Installation de l’école de Belleville au 60, boulevard de la Villette (19e). Dans ce projet, la programmation a prévu de confortables locaux pour le laboratoire de recherche Ipraus/AUSser, comportant un centre de documentation et une cartothèque. L’école accueille également le siège de l’UMR AUSser et ses membres CNRS.

2009. Jean-Philippe Garric, directeur de l’Ipraus/AUSser. 

[regarder le vidéo de présentation de l'école]

2010 (1er janvier). Création de l’UMR AUSser : Architecture Urbanisme Société : Savoir Enseignement Recherche (3329 CNRS). Suite de l’UMR AUS (7136 CNRS). Nathalie Lancret directrice (2010 à 2018). La nouvelle configuration de l’UMR, dont le siège administratif est situé à l’Ensa Paris-Belleville, se recentre sur les équipes de recherche des écoles d’architecture : IPRAUS (Paris-Belleville) et ACS (Paris-Malaquais).

  • 2010. Création d’un DPEA recherche par un collectif d’enseignants-chercheurs de l’IPRAUS (responsable scientifique : Jean-Philippe Garric). Il aura 2 années d’existence.

2012 : Estelle Thibault, directrice de l’Ipraus/AUSser.

2014 (1er janvier) : l’UMR AUSser, dans le cadre de son nouveau programme pluriannuel, intègre 2 nouvelles équipe de recherche : OCS (Marne-la-Vallée) et AHTTEP (ENSA Paris-La Villette). Elle se dotera en 2016 d’un nouveau portail documentaire.

  • Nouvelle réforme des Ensa, instaurant de nouvelles règles de gestion et de gouvernance ainsi que le nouveau statut d’enseignant-chercheur (Décret n°2018-109 du 15 février 2018 relatif aux écoles nationales supérieures d’architecture).

2018 : André Lortie directeur de l’IPRAUS,  Cristiana Mazzoni directrice de l’UMR AUSser.

Depuis la création de l’UMR, l’Ipraus/AUSser contribue au développement de ses recherches et activités et à leur rayonnement.
L’actuel projet scientifique (2020-2024), structuré en dispositifs collaboratifs, s’adosse aux enseignements dispensés en Master dans les quatre ENSA dont relèvent les composantes de l’UMR, ainsi que sur les DSA, les DPEA, les RST et les Chaires partenariales labellisées par le ministère de la Culture.

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